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Notre groupe – ecolelaique
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Notre groupe

Qui sommes nous ?

Groupe citoyen “Culture religieuse et humaniste à l’école laïque

Ce groupe est composé de personnes aux convictions diverses (humanistes, agnostiques, athées, croyants, etc). Il veux promouvoir une meilleure connaissance des racines religieuses et humanistes de la civilisation dans les écoles genevoises, en conformité avec l’article 4 de la loi sur l’instruction publique. Ce groupe est là, en autre, pour rendre service aux citoyens et enseignants, qui sont évidement en première ligne et quotidiennement, s’agissant de l’incidence du faits religieux à l’école. Il propose un échange d’expériences et une réflexion commune.

Lors de l’une de leurs rencontres les membres du groupe citoyen ont été invités à dire leur motivation pour faire partie de ce groupe. La question posée était :

Qu'est-ce qui me fait courir?

Pour simplifier la transcription de ce riche débat, les réponses ont été résumées en autant de suites à l’affirmation

Je viens ici pour…

  • Trouver une solution au problème de l’inculture. En histoire de l’art, 90% des œuvres sont des œuvres religieuses.
  • Contribuer à élaborer un vocabulaire de base qui nous permette de dire notre identité tant face aux dérives (sectes) que face aux autres religions. (Islam en particulier).
  • Promouvoir une certaine harmonie sociale. (de la nécessité de pouvoir se parler).
  • Lutter contre la peur (qui trouve son origine dans l’ignorance).
  • Agir contre la perte des repères (Les élèves risquent de n’avoir aucun ancrage historique et culturel).
  • Promouvoir le respect de l’autre (qui facilite l’intégration).
  • Eviter le communautarisme.
  • Relever l’enjeu de société suivant :L’école doit être un lieu de respect mutuel et d’analyse critique.
  • Ne pas s’accoutumer à un certain « fondamentalisme scientifique » (qui provient d’une absence de critique épistémologique).
  • Promouvoir des activités de formation à l’intention des enseignants (la demande existe).
  • Mettre en valeur la richesse de la pensée humaine (Littérature, arts, religion, etc.). Parce que « L’homme passe infiniment l’homme » (Pascal).
  • Partager des émotions nées de la musique (par ex. le Requiem de Mozart).
  • Répondre à la question « Une société sans religion est-elle possible ? »
  • Partager une réflexion née du constat suivant :dans un passé récent les domaines professionnels qui ont le plus augmenté sont ceux des psychologues, des soignants et des enseignants et ceux qui ont le plus diminué : les curés et les pasteurs. Y-a-t-il  un lien de cause à effet ?
  • Trouver les voies et moyens d’une certaine pacification par rapport à une éducation religieuse reçue puis rejetée.
  • Répondre à la «  pro-vocation » de l’Islam qui est tout à la fois religion et culture. Pour soutenir le rôle des musulmans d’ici face à la modernité.
  • Partager une expérience de terrain qui a pour but de répondre à une attente des jeunes et de dire notre attachement fondamental à la liberté. Pour partager ce que je sais de la vision de l’homme de certaines religions. (Dimension sociale et politique).
  • Contribuer à ne pas dissocier les engagements fondamentaux entre l’avouable (le public) et le privé.
  • Contribuer à faire connaître des « textes autorisés ». Ce qui permet d’éviter de ramener la culture à l’idéologie ambiante. La vie est de plus en plus longue et elle a de moins en moins de sens.
  • Que « Da Vinci code » ne soit pas l’ultime référence.
  • Lutter contre la perte du symbolique.
  • Que l’école soit un lieu où puisse se réaliser un projet d’existence.
  • Que les textes fondamentaux de l’humanité puissent être entendus, au sens profond, par opposition à une lecture superficielle.
  • Que la distance que j’ai prise par rapport à la religion n’inclue pas forcément une distance par rapport à la culture.
  • Une recherche « crédible » d’un nouveau rapport de la culture à la religion et de la religion à la culture.
  • Une collaboration de tous les humanistes (au sens de tous les hommes- et les femmes !- « de bonne volonté ») face à ce qui déshumanise notre société.
  • Trouver une solution au problème de l’inculture. En histoire de l’art, 90% des œuvres sont des œuvres religieuses.
  • Contribuer à élaborer un vocabulaire de base qui nous permette de dire notre identité tant face aux dérives (sectes) que face aux autres religions. (Islam en particulier).
  • Promouvoir une certaine harmonie sociale. (de la nécessité de pouvoir se parler).
  • Lutter contre la peur (qui trouve son origine dans l’ignorance).
  • Agir contre la perte des repères (Les élèves risquent de n’avoir aucun ancrage historique et culturel).
  • Promouvoir le respect de l’autre (qui facilite l’intégration).
  • Eviter le communautarisme.
  • Relever l’enjeu de société suivant :L’école doit être un lieu de respect mutuel et d’analyse critique.
  • Ne pas s’accoutumer à un certain « fondamentalisme scientifique » (qui provient d’une absence de critique épistémologique).
  • Promouvoir des activités de formation à l’intention des enseignants (la demande existe).
  • Mettre en valeur la richesse de la pensée humaine (Littérature, arts, religion, etc.). Parce que « L’homme passe infiniment l’homme » (Pascal).
  • Partager des émotions nées de la musique (par ex. le Requiem de Mozart).
  • Répondre à la question « Une société sans religion est-elle possible ? »
  • Partager une réflexion née du constat suivant :dans un passé récent les domaines professionnels qui ont le plus augmenté sont ceux des psychologues, des soignants et des enseignants et ceux qui ont le plus diminué : les curés et les pasteurs. Y-a-t-il  un lien de cause à effet ?
  • Trouver les voies et moyens d’une certaine pacification par rapport à une éducation religieuse reçue puis rejetée.
  • Répondre à la «  pro-vocation » de l’Islam qui est tout à la fois religion et culture. Pour soutenir le rôle des musulmans d’ici face à la modernité.
  • Partager une expérience de terrain qui a pour but de répondre à une attente des jeunes et de dire notre attachement fondamental à la liberté. Pour partager ce que je sais de la vision de l’homme de certaines religions. (Dimension sociale et politique).
  • Contribuer à ne pas dissocier les engagements fondamentaux entre l’avouable (le public) et le privé.
  • Contribuer à faire connaître des « textes autorisés ». Ce qui permet d’éviter de ramener la culture à l’idéologie ambiante. La vie est de plus en plus longue et elle a de moins en moins de sens.
  • Que « Da Vinci code » ne soit pas l’ultime référence.
  • Lutter contre la perte du symbolique.
  • Que l’école soit un lieu où puisse se réaliser un projet d’existence.
  • Que les textes fondamentaux de l’humanité puissent être entendus, au sens profond, par opposition à une lecture superficielle.
  • Que la distance que j’ai prise par rapport à la religion n’inclue pas forcément une distance par rapport à la culture.
  • Une recherche « crédible » d’un nouveau rapport de la culture à la religion et de la religion à la culture.
  • Une collaboration de tous les humanistes (au sens de tous les hommes- et les femmes !- « de bonne volonté ») face à ce qui déshumanise notre société.

Notre groupe

Liste des membres

ALBERICI Richard

Historien de l’art, ancien membre du comité du GAPP (Groupement des associations de parents d’élèves des écoles primaires et enfantines)

BACHTEN Marie-Jeanne*

Formatrice

BAUD Catherine*

Juriste, ancienne députée au Grand Conseil, ancienne  présidente de la FAPPO (Fédération des associations de parents d’élèves du post-obligatoire)

BENZ Roland*

Pasteur

BOLSTERLI Michèle* et François

Avocats

BOSKO Karel*

Historien, enseignant au Collège et à l’Université de Genève (Lettres)

BRES Jean-Claude

Chargé de recherche et développement, responsable de l’Institut de Formation Pédagogique (IFP)

CUENOD Jean-Noël

Journaliste, écrivain

DELAY Thierry*

Pasteur

GENECAND Jean-Claude

Ancien député au Grand Conseil, président Radio Cité

HAGMANN Janine

Enseignante retraitée, ancienne députée au  Grand Conseil

HUTMACHER Walo*

Sociologue, ancien directeur du Service de recherche en éducation. (SRED)

KONTOS Sarah

Ancienne directrice du Bureau romand du CPS (Centre suisse de formation continue des professeurs de l’enseignement secondaire)

MAUDET Henri

Secrétaire de la Plateforme interreligieuse de Genève

MIQUEL Bruno

Pasteur

NERFIN Henri*

Pasteur, secrétaire du groupe

OLSOMMER Vesca*

Ancienne députée au Grand Conseil, co-auteure de la motion 1079

PATTARONI Damien

Historien, enseignant à l´ECG et au Centre de formation professionnelle de la construction (CFPC)

PERREGAUX Christiane

Professeure honoraire Sciences de l’éducation. Université de Genève, co-présidente de la Constituante

RUEDIN Luc

Prêtre, ancien aumônier catholique de l’Université de Genève

SAUGE André

Ancien enseignant de philosophie au Collège de Genève

SCHMIED Patrick*

Ancien député au Grand Conseil, Ingénieur EPFL, directeur de la Centrale de compensation fédérale du 1er pilier des assurances sociales, président du groupe

WINTER Alexandre

Pasteur

Notes :

  1. Les personnes énumérées ci-dessus font partie du groupe fondateur et à des titres divers : membres du groupe noyau, personnes ressource, relais informels
  2. Le groupe s’exprime par l’avis des membres du groupe noyau. (*)

Composition du groupe interdisciplinaire

Ce groupe est composé d’experts en sciences des religions, de personnalités investies dans la réflexion sur le pluralisme culturel et religieux à Genève, et de représentant-e-s des directions aux différents niveaux d’enseignement.

Les membres désignés par le DIP sont:

Mesdames:

  • Catherine Baud docteure en droit, députée; membre du groupe citoyen “culture religieuse et humaniste à l’école laïque”
  • Nicole Durisch Gauthier Ancienne directrice du Centre d’information sur les croyances (CIC) Genève et Formatrice à la HEP Vaud
  • Adriana Beni Khouri philosophe, enseignante à l’institut de formation des adultes GE et à l’ONU.

Messieurs:

  • Philippe Borgeaud Professeur d’histoire des religions à la Faculté des Lettres D’UNIGE.
  • Walo Hutmacher Sociologue consultant à l’université de Genève, membre du groupe citoyen “culture religieuse et humaniste à l’école laïque
  • Henri Nerfin Pasteur retraité et membre du groupe citoyen en faveur d’une culture religieuse et humaniste à l’école laïque
  • Gilles Petitpierre Ancien Conseiller aux Etats, professeur à l’Université de Genève, membre du conseil de la Fondation “Éthique Planétaire” Suisse (FEP)
  • Boris Wastiau anthropologue ethnologue et directeur du musée d’ethnographie GE.

Participeront également aux séances du groupe interdisciplinaire, un-e représentant-e de la direction générale de l’enseignement primaire (DGEP), de la direction générale du cycle d’orientation (DGCO) et de l’enseignement postobligatoire (DGPO).